m couv epops61Observation de deux Labbes en Limousin en 2002 / Actualités du site Natura 2000 : « Mine de Chabannes et souterrains des Monts d’Ambazac » / Première observation de Pseudorasbora en Limousin / Histoires reptiliennes / Ascaridiose chez un Épervier / L’énergie éolienne : une source d’énergie renouvelable en développement / Un inventaire collectif sur la lande de la Flotte et du Cluzeau / Le Chevalier gambette en Limousin / synthèse des observations du 01/10/2003 au 31/12/2003


A part cela, ce numéro d’EPOPS est  plutôt fidèle aux précédents  et nous trouvons  toujours une certaine  diversité de thèmes exposés  même s’ils ne  concernent essentiellement  que les Oiseaux,  les Amphibiens et les  Mammifères. Si vous souhaitez  aborder d’autres  sujets, n’hésitez pas, faitesnous  parvenir des textes  originaux pour alimenter la  revue. Nous n’attendons  que cela. 
Enfin, pour terminer ce  court propos, je voudrais  apporter une précision  supplémentaire par rapport  au dernier EPOPS  paru. Comme toujours, la  mise en page de notre  revue se fait, à la fin, dans  une certaine précipitation.  Ceci a toujours quelques  conséquences fâcheuses  et c’est ainsi que l’auteur  de l’observation et de l’article  sur le Vanneau  sociable a été carrément  oublié. Alors sachez qu’il  s’agit de Jean-Michel  Teulière, naturaliste bien  connu dans la région  depuis de nombreuses  années. Je suis sûr que  Jean-Michel saura nous  pardonner cet oubli bien  involontaire. 
Rappelons aussi que  Jean-Michel a publié aux  éditions Souny deux ouvrages  importants. Le premier,  paru en 2002 avait pour  titre «Le Loup en Limousin,  petite histoire d’une grande  disparition» ; le second  ouvrage sorti des presses  en 2004 (voir quelques précisions  dans la rubrique  Nouvelles brèves et informations  diverses) s’intitule  : «L’Incroyable Histoire de  Trana La Grue». 
Quand ce numéro vous  parviendra, l’été tirera certainement  à sa fin. Les  oiseaux auront terminé  leur mue et beaucoup  auront commencé leur  migration vers le sud.  Alors vite à vos jumelles et  autres longues-vues, c’est  un moment privilégié pour  les observations… et surtout…  n’oubliez pas…,  transmettez au plus vite  vos données les plus intéressantes  afin que les  banques naturalistes régionales  s’enrichissent de  plus en plus et que la  connaissance de notre  environnement biologique  devienne de plus en plus  précis.